Uncategorized

Cinq heures du matin – Mai 1995

Cinq heure du matin,
La ville, une des plus grande du monde est abandonnee aux taxis effrénés,
et aux restes d’amour à peine éveillés
Les rues sont désertes, le soleil se lève
Les grattes-ciel ne paraissent plus hostiles
Pour une heure seulement
La nature aura rattrapé les hommes.

Mai 1995

Par défaut

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s