Assise sur le canapé, au milieu du salon, muette. Paralysée, j’attends que la détresse prennent son RER. Le silence m’entoure, interrompu par les intermèdes de la rue vagabonde.
Omnibulée par la peur, mes perceptions perdent leur raisons. Je ne sais quoi faire. L’effort devient herculien pour me dépêtrer de ce mauvais sort.