Merlin
Il l’enveloppe tous les soirs
De son corps lourd et puissant
Trahie par son désir elle se donne à lui
Son sexe pénétrant lui déchire
Ses entrailles
Arthur pense à Morgane
Lancelot à Guenièvre
Merlin à Viviane
Les liens et le sang s’enchevêtrent
Dans l’hérédité incestueuse
Du Moyen-Âge.
Octobre 1997